CONTES NUS : Une polyclinique des sphères. 

Une musique de chambre pas bien rangée, avec des textes issus du spectacle CONTES NUS.
Olivier Thomas raconte des histoires en biais de gens du monde, des histoires sans histoire. Entre sens et non-sens, poétiques, en français dissonant ou en langue de bois, les mots se déclinent en chansons atypiques.

Une musique intimiste, surement, ou l’on danse rêve et rit. On y parle des étoiles, des orang-outans, des trous noirs et des vaches, de mon opticien, de Marguerite et de la boue, de l’illusion de la transparence et des autoroutes pour galaxies. Mais aussi des indiens, des cow-boys s’ils avaient été des babas au rhum, des pommes d’arrosoirs et des histoires qu’on se raconte, du riz, des contenants et des contenus, de la vitesse du monde et de nos cheveux qui ne bougent pas. On y sera aussi en musique, en chantant sous les étoiles avec le petit Poucet, Zatopek, Gisèle, et une ballerine, sous une ombrelle, plantée dans un citron.